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La semaine pour la qualité de vie au travail

La semaine pour la qualité de travail serait à sa 9ème édition et à cette occasion elle s’est basée sur un sondage d’opinion qui aurait concerné 1000 salariés pour déterminer le rapport qui existerait entre leur le fait de parler de leurs problèmes au travail ouvertement et la prise en compte de leurs demandes par la direction générale.

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Parler travail

Selon les statistiques de l’Association Nationale pour l’Amélioration des Conditions de Travail (ANACT), les français aiment parler de leur travail et ceci en tous lieux : dans le cadre de l’emploi, ils seraient 72% à en parler entre collègues et 73% dans le foyer. Par contre et en analysant les discussions relatives à ce sujet en question, les français ne parlent pas de leur travail pour le critiquer car 86% en semblent plutôt satisfaits et 19% estiment que les leurs seraient très bonnes. En fait, ils parleraient plutôt de tout ce qui aurait un rapport avec les relations, le contenu en lui-même et l’organisation. Par la suite, les sujets un peu moins évoqués par les interrogés seraient relatifs à l’évolution professionnelle, la sécurité et comment mener de front vie professionnelle et vie familiale.

Les raisons qui poussent à parler travail

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Généralement et selon les statistiques réalisées, les discussions sur les conditions de travail peuvent se faire en tous lieux et en tous moments. Par contre, majoritairement et à plus de 80%, ce sont les discussions informelles entre collègues qui évoquent les conditions de travail et les offres d’emploi. Les cadres ne sont sollicités que pour évoquer l’évolution professionnelle. Mais les plus en rapport avec les discussions à savoir les représentants du personnel et de la direction restent les plus mauvais interlocuteurs.

Mais toujours selon les interrogés, parler du travail entre collègues reste une sorte de soulagement pour 60% d’entre eux s’il s’agit du contenu  et pour 58% pour ce qui serait relatif à la sécurité de l’emploi et les conditions physiques du travail. Quant à l’évolution professionnelle, elle concernerait 57%. Il resterait les problèmes de la conciliation entre vie professionnelle et vie privée ou ceux relatifs à l’organisation où les retombées seraient quasi nulles. En général, le problème n’est pas d’en parler et ce serait positif de le faire mais le plus important c’est de trouver la bonne personne pour en discuter car elle pourrait apporter une solution.

D’après parisjob.com