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La situation actuelle de l’emploi et du pouvoir d’achat en France

Selon les chiffres révélés par l’institut national de la statistique concernant le premier semestre de l’année en cours, il en revient à dire que les dangers de la crise semblent écartés mais par contre le redémarrage de l’activité économique et de la croissance sera lent. Ceci marquera en premier lieu l’emploi et le pouvoir d’achat qui sont les deux préoccupations majeures des français.

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Les causes du ralentissement de la croissance

Toujours selon l’Insee, le ralentissement de la croissance économique française ne présente plus un réel danger car il sera lent et va en s’améliorant tant en France qua dans toute la zone euro, ceci bien sur s’il n’y aurait aucun imprévu ou un aléa extérieur qui contredirait tout ces perspectives comme la hausse non négligeable des produits pétroliers. Malgré cela, il faudrait faire en sorte de trouver des solutions qui tendraient à accélérer ce rythme de croissance jugé mou par les statisticiens.

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Effets de la baisse de la croissance sur l’emploi et le pouvoir d’achat

Sur une base chiffrée, l’emploi et le pouvoir d’achat des français connaitraient une nette dégradation malgré une récession évitée de justesse par une petite progression du PIB légèrement supérieure à celle de ses voisins européens. En effet et chiffres à l’appui la France aurait eu une croissance plutôt nulle au premier trimestre et commence à décoller légèrement en ce début de deuxième trimestre.

Ceci aurait donc des répercussions négatives au niveau de l’emploi puisque 18 000 postes de travail ont été perdus et la montée du chômage à 10% de la population active. Malheureusement et selon les prévisions le chômage devrait continuer à croitre.

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La répercussion sur le pouvoir d’achat des français semblerait claire et il  tendrait à reculer de 0,3% en ce premier semestre de l’année 2012, situation jamais connue depuis 2008. Ceci serait du certainement à une sorte de regain de l’inflation et le ralentissement de l’accroissement des salaires et revenus du principalement à une baisse des offres d’emploi. Tout ceci va mettre en danger la consommation des ménages  jugée comme étant le moteur de la croissance française.

D’après La tribune