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Les faits : Suppression de postes de travail dans l’éducation nationale

Selon les informations, 14 000 emplois seront supprimés dans l’éducation nationale à partir de la prochaine rentrée. C’est donc pour cela que des milliers d’enseignants à l’appel des syndicats ont défilé à Paris pour dénoncer cette suppression de postes et montrer leur désaccord vis-à-vis du projet de réforme de l’évaluation.

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La suppression d’emploi  dans l’éducation nationale en chiffres

Le nombre d’emplois qui seront supprimé à partir de la prochaine rentrée serait de l’ordre de 14 000 postes partagés entre l’école primaire où il est prévu 5700 suppressions contre 6550 dans le secondaire. Les conséquences de cette loi en question seront supportées par les élèves car l’école en tant qu’institution se sentirait démunie dans sa capacité d’aider les élèves et surtout ceux en difficultés. De plus, le projet de réforme de l’évaluation des enseignants n’est pas vraiment accepté par le personnel enseignant puisque leur évaluation ne va plus dépendre que du chef d’établissement alors que jusque là leur notation était à la fois administrative par le chef d’établissement et pédagogique par l’inspecteur régional, cette dernière étant la plus importante.

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Les motifs de la grève du personnel enseignant

La grève du personnel enseignant s’est déroulée le 31 janvier 2012 suite à l’appel des syndicats mais le taux de participation n’a été que de l’ordre de 15,5% dans le primaire et 12,5% dans le secondaire. Le phénomène a été suivi dans 52 départements avec un taux moyen global de grévistes atteignant 40%. Il est à signaler que la manifestation la plus importante a eu lieu à Paris où elle aurait réuni selon la police 9000 manifestants.

D’après les Echos