Les causes de la suppression d’emplois à la Société Générale

La Société générale compte supprimer en 2012, 1500 postes de travail dans les secteurs du financement et de l’investissement dont 880 en France métropolitaine. Toutefois la banque assure qu’il n’y aura pas de licenciement qui découlera de la loi en question en ce qui concerne le personnel en France. Cette procédure se justifie pour « faire face au bouleversement du contexte économique réglementaire »

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Procédures de la suppression d’emplois à la Société Générale

Il s’agirait d’abord de définir l’accompagnement et les garanties sociales du personnel en question et selon un plan proposé conjointement par la banque et les syndicats, il n’y aura ni licenciement économique ni départ contraint. Par contre pour les postes à l’étranger, aucun engagement n’a été pris et pour cause les postes de travail concernant l’investissement et le développement sont pour la plupart localisés en France.

Le reclassement : une solution pour éviter les licenciements

Pour la Société Générale et le syndicat (CGT), la proposition des reclassements est tout à fait logique si le recrutement prévu pour l’année 2012 se réduirait de 3200 à 2500 personnes. De plus les recrutements prévus au nombre de 2500 seront à contrats à durée indéterminée et concerneront des activités autres que celles prévues par le plan en question.

Comparaison interbancaire pour la suppression d’emploi

La Société Générale n’est pas la seule banque à procéder à la suppression d’emploi  et les autres banques françaises ont suivi le même parcours  et nous citons à titre d’exemple BNP Paribas qui a procédé au licenciement de plus de 1700 salariés dont 1400 dans les autres pays d’implantation quant au crédit agricole le même phénomène est en cours de traitement pour supprimer 850 postes de travail en France. Ces mesures ont été prises par les banques françaises cotées dans un but de restriction des activités de marché dont les couts augmentent de plus en plus.